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De nombreuses lettres "ummites" ont été reçues depuis 1966 au moins et leur authentification formelle est quasi-impossible.

Certaines sont considérées comme "fausses" ou "vraies" par les personnes ou groupes de personnes suivant le dossier. UMMO.

Afin d’unifier ummologues et ummophiles, et pour éviter des échanges stériles et inutiles entre eux, une liste ci-dessous est publiée qui contient l’ensemble des lettres qui sont considérées comme AUTHENTIQUES A L’UNANIMITÉ.

Le nouvel arrivé sur ce dossier dispose ainsi d'une base d’étude reconnue de manière commune ; il pourra par la suite se faire son propre avis en jugeant de la pertinence et de la qualité des autres documents disponibles.

 

Bonne lecture à toutes et à tous  !

Documents considérés comme authentiques à l’unanimité :


De D 23 à D 214
D 977
D 612 
pour ce dernier document, nous cherchons une personne à Monterrey au Mexique pour tenter de valider le nom du destinataire qui a été fourni.

Documents historiques UMMO

Classement Darnaude: http://www.ummofiles.net/?page_id=7

http://www.ummo-sciences.org/

http://www.ummo-ciencias.org/

https://www.jp-petit.org/ummo/som-chrono.htm

OUMMAINS, UMMITES, EN RÉSUMÉ


En 1934, un cargo norvégien fait des essais de communication haute fréquences en morse dans l’Atlantique nord. Les Ummites captent leur signal vers 1949. La forme carrée de l’onde, due au morse binaire, les fait baptiser la Terre : OYAGAA, la « planète du carré ».

Le 28 mars 1950, les Ummites prennent pied sur Terre à bord d’une nef discoïdale, à La Javie, près de Digne, dans une région montagneuse afin de passer inaperçu.

L’Espagne est ensuite choisie comme terrain d’expérimentation. Morphologiquement semblables à des Scandinaves, ces extraterrestres se font passer pour des vétérinaires danois chez une marquise assez fantasque qui possède un parc animalier. Ils procéderont ainsi à des expériences sur des animaux et des virus.

Le 14 janvier 1966, Fernando Sesma, un original qui dirige un cercle ésotérique à Madrid et se dit en contact avec des extraterrestres, reçoit un coup de téléphone de la part des Ummites. Ceux-ci se présentent, ce qui n’émeut pas Sesma outre mesure, et les Ummites commencent à lui adresser des lettres dactylographiées dans lesquelles ils présentent, avec un formalisme très scientifique, leur société, leur cosmologie, leur science, leur métaphysique.

Le 6 février 1966 un ovni discoïdal ummite atterrit à Aluche, dans la banlieue de Madrid laissant des empreintes en creux. Jean Pollion, un scientifique, estimera que les trois empreintes représentent l’équivalent de 42 tonnes de pression. Plusieurs témoins raconteront l’histoire.

Un an plus tard, le club de Sesma reçoit une lettre annonçant la venue d’une nef entre le 30 mai et le 3 juin suivant, sur une zone estimée à 500 km2 autour d’Aluche. Le premier juin, une nef laissant apparaître sur son ventre le symbole ummite )+( survole le château de San José de Valderas dans la banlieue de Madrid pendant une douzaine de minutes, puis s’en va atterrir non loin à Santa Monica. Là encore de nombreux témoins rapportent les faits, et des photos sont prises, elles feront le tour du monde.

Au total, 34 personnes en Espagne ont reçu un équivalent de 1350 pages dactylographiées, réparties sur une trentaine d’années. Ces lettres ne devaient pas faire l’objet d’une diffusion. De relations en relations, quelques textes sont arrivés en France à partir des années 1970. Le physicien Jean-Pierre Petit en a eu connaissance et a débuté une série de travaux en relation avec les indications portées dans les textes. Malgré l’interdit fait aux contactés de communiquer les informations relatives à Ummo, le réseau espagnol s’est éventé. Depuis, de nombreux livres ont été publiés sur le dossier Ummo, tant en France qu’en Espagne. 

Du réseau privé espagnol, à l’origine, on est passé à des réseaux publics aujourd’hui principalement axés autour de sites, forums de discussion ou blogs Internet, comme ummo-sciences.org géré par André-Jacques Holbecq et leurs homologue espagnol d'ummo-ciencas, le site de Jean-Pierre Petit, le site Alliance Galactique de Marc Picot.

La métaphysique Ummite

Que nous apprennent les textes Ummites sur le divin et la survie de la conscience ?

Comment peut-on définir la métaphysique ? C’est le discours qui a trait à l’âme, à la conscience, à la vie après la mort, à Dieu ; par définition, la métaphysique transcende la physique, elle la dépasse. L’outillage scientifique est utile en métaphysique. En théologie naturelle par exemple, on utilise les armes de la logique pour prouver l’existence de Dieu, on utilise la connaissance de l’univers et des lois qui le dirigent dans le même objectif. Mais ce n’est pas suffisant pour atteindre, véritablement, la transcendance. Or ce qui nous apparaît comme de la métaphysique dans les discours ummites traitant de l’âme, de la mort, de Dieu, n’en est pas vu de leur côté puisqu’ils ont acquis ces connaissances de manière scientifique, reproductible. De ce point de vue, ils ne font pas de métaphysique, seulement de la physique. Métaphysique est un terme inapproprié les concernant. Ils se déclarent agnostiques : seul ce qui est accessible à l’expérimentation compte.

Panorama schématique

- Dieu existe, en tant qu’être nécessaire.
- L’univers est composé d’une multitude d’univers différents. En réalité le pluriunivers est unitaire, mais composé d’une multitude d’aspects différents que l’on traduit, nous êtres humains, par des univers différents. La différence principale qui caractérise les univers entre eux provient de la vitesse de la lumière en leur sein, qui s’échelonne entre 0 et l’infini. Ces univers vont par paires, ils sont conjugués deux à deux. En langage Ummite, l’univers se dit WAAM, le pluriunivers se dit WAAMWAAM : univers d’univers.
- L’âme existe (BUAWA) : elle se situe dans un autre univers, celui dont la vitesse de la lumière est nulle.
- Un autre univers essentiel existe : l’univers des consciences collectives (WAAM BUAWE BIAEI ). Sa vitesse limite est infinie, sa masse est également infinie. C’est à la fois la demeure des âmes désincarnées, ce qu’on appelle l’Au-delà - lui-même à la fois paradis, purgatoire et enfer - et c’est aussi l’inconscient collectif que nous abreuvons en permanence et qui nous nourrit en retour d’informations subliminales capitales pour notre évolution. Et c’est encore bien plus, avec des fonctions que nous allons découvrir.

L’âme

L’âme, qu’ils nomment BUAWA, est adimensionnelle. Elle vit dans un univers dépourvu de longueur, de largeur, de hauteur. Elle est aussi dépourvue de masse et d’énergie. Le temps n’existe pas dans son univers. Dans ce sens, on ne peut pas dire que l’âme soit éternelle puisque l’éternité fait référence au temps. Elle existe, indestructible, à jamais, quoiqu’on ne puisse pas dire non plus qu’elle existe au sens ou ce qui existe pour nous est ce qui est observable : la matière, l’énergie. Bien qu’elle ne soit pas composée de matière, elle est capable de stocker, d’engranger de l’information : celle provenant de nos processus intellectuels ainsi que de nos émotions et de nos sensations multiples (vue, ouïe, toucher, odorat, goût, etc.). Notons que notre langage terrestre est inapproprié pour décrire un tel état. Une question essentielle est de savoir comment les Ummites l’ont découvert scientifiquement. Si l’âme possède ces attributs qui transcendent nos sens et nos instruments de mesure, comment ont-ils réalisé ce tour de force ? Comment explorer quelque chose qui, pour nos sens et nos instruments, n’existe pas ? Les textes nous l’enseignent. Tout d’abord rappelons un axiome essentiel : la science évalue l’existence d’un facteur en fonction des effets qu’il produit ; et l’âme produit bien des effets au sein de notre univers matériel soumis au flux du temps puisque nous existons. On peut ici faire une analogie avec la découverte des exoplanètes. Ces planètes extrasolaires sont inaccessibles à nos sens, et inaccessibles à nos télescopes les plus pointus. Seulement nous sommes capables de les détecter à partir des effets qu’elles produisent sur leur environnement, en analysant les oscillations de leur étoile, oscillations autour d’un centre de gravité qui traduisent indirectement la présence de planètes massives…

La découverte de l’âme sur Ummo

NOI3, le scientifique ummite auteur de cette découverte majeure, avait détecté la présence d’atomes de krypton, profondément logés dans l’hypothalamus d’une jeune femme qui servait de cobaye et les avait analysés. Le krypton est un gaz rare, neutre, très stable, qui normalement n’interagit pas avec le milieu, même un milieu biologique vivant. Néanmoins, il est compréhensible que la présence de quelques atomes de krypton au fond du cerveau ait pu pousser la curiosité d’un scientifique et l’ait décidé à aller voir de plus près le comportement de ces atomes. Le scientifique regardait sur l’équivalent d’un écran d’ordinateur la structure probabiliste des électrons de la couronne d’un des atomes de krypton sélectionné, observant les sauts quantiques d’énergie. Normalement, tout électron qui se respecte, et qui respecte les lois de la mécanique quantique, suit une fonction probabiliste, c’est-à-dire qu’il est régi par le hasard et qu’on ne peut pas mesurer à la fois sa position et sa vitesse : c’est le principe d’incertitude d’Heisenberg. Or, NOI3 découvrit avec stupeur que les électrons en question étaient distribués selon une loi simple, une fonction périodique. Mieux, les mouvements des électrons coïncidaient avec les impulsions nerveuses émises par le cortex de la jeune fille, impulsions qui entraînaient ses mouvements volontaires, des bras et des jambes par exemple, et non pas ses réflexes. Par la suite, des mesures précises montrèrent aux Ummites que les mouvements électroniques précédaient d’un millionième de seconde les réactions neurophysiologiques de la patiente, autrement dit qu’ils dictaient des ordres à son organisme !

Par conséquent, quelque chose envoie des ordres au corps, le corps est comme téléguidé. Ces atomes de krypton jouent donc un rôle d’interface, d’antenne, un rôle capital. Les Ummites appellent ces atomes OEMBUAW : le péresprit (qui n’a rien à voir avec le péresprit décrit par les spirites), cette chaîne d’atomes de krypton est un canal, une connexion qui relie le cerveau à l’âme. Ils l’appellent aussi le « troisième facteur » de l’homme, les deux premiers facteurs étant le corps physique et l’âme. Par la suite, ils découvrirent que l’âme se trouve non seulement à l’extérieur du corps, mais habite un autre univers, l’univers des âmes, WAAM BUAWA, que les Ummites décrivent comme un univers statique, gelé, de vitesse nulle, sans matière ni énergie, et qui contient en son sein toutes les âmes des êtres conscients et rationnels du pluricosmos, c’est-à-dire celles des hommes, les âmes des extraterrestres de notre galaxie, les extraterrestres des milliards d’autres galaxies, ainsi que tous les êtres conscients appartenant à la multitude des différents univers. Ils n’ont pas trouvé de connexion aquantique avec le WAAM BUAWA chez les espèces animales jusqu’à présent. Chose importante : il n’existe aucune connexion entre ces âmes qui sont isolées les unes des autres, et elles ne peuvent échanger aucune information entre elles. À chaque âme correspond un et un seul lien avec un être vivant dans l’univers multiple.

La traduction de BUAWA, l’âme, d’après Jean Pollion, donne ceci : “contribution informative obligatoire à l’équilibre effectif” ; on pressent ici une fonction transcendante de l’homme dans l’univers ; nous y reviendrons.

La conscience

Nous avons donc une âme (les hommes en sont dotés, les ummites l’ont vérifié), qui vit en dehors du temps. Alors comment se représenter ce paradoxe, celui de notre conscience au jour le jour, piégée dans le carcan du temps, en connexion avec une âme pour qui le temps n’a aucune signification ? Pour cela, ils nous offrent quelques métaphores pour imager ce paradoxe.

L’homme-boudin

Représentez-vous un petit homme immergé dans le temps, c’est-à-dire tout au long de sa vie. Eh bien, une manière de le représenter est de dessiner un boudin dont la tranche, lorsqu’on le coupe, a une forme humaine. Ce boudin représente toute la vie de l’homme. Autrement dit son âme, pour qui le temps n’existe pas, agit non pas sur le corps de l’homme au fur et à mesure que le temps passe, mais d’un coup sur toute la longueur du boudin.

Une autre illustration

Autre illustration pour comprendre que le temps n’existe pas pour l’âme, bien qu’elle conforme librement la vie de l’homme dans le flux du temps. Imaginez un tunnel souple en plastique transparent. Il fait nuit, et un homme marche à l’intérieur du tunnel avec une lanterne pour s’éclairer. Le tunnel est bien entendu la métaphore de sa vie sur Terre. Les meubles qui sont devant le bonhomme, dans le noir et que la lanterne n’éclaire pas, c’est le futur. Les meubles qui sont derrière lui forment les événements du passé. Dans ce cas, on peut dire que l’homme est pourvu d’un rétroviseur : sa mémoire conserve une certaine vue du passé. Est-ce parce que l’homme ne voit plus les meubles qui sont loin derrière lui, ou bien qu’il ne voit pas encore les meubles qui sont devant lui dans le noir, que ces meubles n’existent plus ? Non. Le présent est cette lanterne qui dévoile la réalité, pas à pas, mais la réalité passée et future demeure et préexiste.

Alors, si le futur est déjà écrit, le libre arbitre est-il un leurre ? Non, car l’âme a posé son tunnel sur la terre en une seule fois. Elle a d’abord vu la forme du terrain, les creux, les bosses, les collines, les arbres et les rochers à éviter ; elle a vu les tunnels des autres humains se poser çà et là, elle a vu tout cela du haut de son intemporalité et a décidé librement de son chemin de vie. C’est évidemment difficile à concevoir et on ne peut que l’intuiter.

Une dernière métaphore sur l’âme et le temps

Imaginez que vous regardiez une maison en face de vous, mais vous la regardez à travers un tout petit trou fait dans un carton, ce qui vous empêche de voir l’ensemble de la maison d’un seul coup d’œil. La conscience du corps, celle du cerveau biologique, ne découvre donc la maison qu’en balayant lentement toute la surface de la maison à travers le carton, car son champ de vision est extrêmement réduit. Par contre, la conscience de l’âme voit l’intégralité de la maison, car elle n’a pas de carton devant les yeux.

Qu’arrive-t-il aux âmes des pécheurs, aux âmes damnées ? Que nous arrive-t-il après la mort ? Pour le savoir, il faut aborder l’univers des consciences collectives, l’univers majeur de la création.

L’univers des consciences collectives

Il recouvre toutes les fonctions du paradis, et c’est beaucoup plus que le paradis. Il recouvre toutes les fonctions de l’inconscient collectif et c’est beaucoup plus que cela.

C’est l’univers le plus important de la Création.

L’univers des consciences collectives contient des millions de milliards de cellules qui sont des consciences collectives. Qu’est-ce qu’une conscience collective ? Dès qu’il existe une planète qui abrite la vie, dans n’importe lequel des univers multiples qui peuplent le pluricosmos, il existe, en relation biunivoque, une conscience collective qui lui est reliée.

Les Ummites ont vérifié sur Terre leur modèle. Ils ont mis en évidence notre âme, et notre conscience collective. Nous sommes bien reliés à une conscience collective, qui est différente de la conscience collective de la planète Ummo.

Fonctions d’une conscience collective

- Recevoir de la part de l’ensemble des êtres vivants, plantes, animaux, microbes, qui vivent sur la planète en liaison, des informations sur le milieu, sur le biotope.
- Recevoir de la part des êtres possédant une âme la totalité des informations engrangées par leurs âmes : sensations (vue, ouïe, toucher, odorat, etc.) émotions (joie, douleur, plaisir, etc…), processus intellectuels… On peut d’ailleurs noter que nous avons là un phénomène de redondance (avec l’âme) dans la mémorisation des informations.

De surcroît, la transmission entre les êtres et la conscience collective agit dans les deux sens :

- La conscience collective transmet aux hommes, aux animaux et plantes les mutations souhaitées. Il s’agit de l’évolution biologique, l’orthogenèse. On dépasse ici le simple cadre du darwinisme… Ce qu’ils nomment le BAYODU relie le génome d’un être vivant, homme ou animal ou végétal, à la conscience collective, par le biais de 86 paires d’atomes de krypton. Ces grappes de krypton aquantique sont associées à l’ADN de chaque être vivant.

- La conscience collective transmet aux hommes, les patrons de formes.
- Prenons l’exemple de la couleur. La couleur n’existe pas en tant que telle, ce n’est qu’une perception psychologique, le substrat de la perception est en réalité un train d’ondes électromagnétiques. Idem pour l’apparence matérielle des choses, qui n’est qu’une illusion. Imaginez un briquet dans votre main : vous ne touchez pas sa surface, car en réalité il existe de grandes distances entre les atomes du métal et les nuages électroniques de l’épiderme. Pourquoi ne tombe-t-il pas alors ? C’est à cause de la répulsion entre les charges électriques négatives. Ce briquet a une apparence compacte ? En réalité les noyaux atomiques constituant le briquet sont séparés entre eux dans les mêmes proportions que les Soleils. Vous allumez le briquet. Comment la lumière de la flamme arrive-t-elle au cortex ? Elle n’arrive jamais, ce sont des impulsions codées, des messages électriques envoyées par le nerf optique qui parviennent au cerveau, et c’est lui qui décode le message et construit un scénario mental.

La couleur

Revenons à la couleur. Une onde électromagnétique correspond à la couleur jaune par exemple. Il suffit que sa fréquence change et votre œil percevra du rouge ou du bleu. Si sa vibration change encore de fréquence, nous allons la capter comme de la chaleur, ou bien des sons. Le monde extérieur est une illusion fabriquée par notre cerveau. Celui-ci fabrique une représentation mentale du monde en appliquant sur la perception des ondes électromagnétiques, qui sont la seule réalité de notre univers, une sorte de programme fourni par la conscience collective, qui va permettre de monter une scène de théâtre et de visualiser et de ressentir le monde, un monde finalement entièrement virtuel.

- La conscience collective transmet aux hommes, de façon subliminale, les patrons de comportement :
- Comme un gigantesque ordinateur, la conscience collective qui engrange tout ce qui se passe sur Terre est programmée pour traiter cette information au mieux, suivant une programmation intégrant les lois morales cosmiques. Et la conscience collective nous retransmet le résultat de ces traitements qui nous donnent des orientations pour nos vies, c’est notre fameuse petite conscience, ou intuition, ou notre fameux ange gardien. Ces recommandations de vie s’adressent au subconscient et nous laissent par conséquent notre libre arbitre. Ceci paraît idéal, mais les Ummites nous signalent qu’il existe comme une imperfection dans le système : la conscience collective ne réagit pas en temps réel, ce qui fait que les conseils qu’elle nous envoie ne sont pas toujours adaptés à la situation que nous vivons. De la même façon que l’établissement d’un bilan comptable correct nécessite d’attendre la clôture comptable et ne peut se faire au jour le jour, l’établissement et la compilation des règles adaptées de comportement nécessitent un traitement dont le résultat correct n’est pas immédiat.

Autres fonctions de la conscience collective

- C’est le lieu de vie des décédés : on peut se représenter la conscience collective comme une unité centrale cosmique qui permet de traiter l’information, et qui permet aux âmes de traiter leur propre information, c’est-à-dire de vivre, d’exister. Une âme esseulée ne peut vivre, il lui faut un processeur de traitement, soit le cerveau biologique, pendant la vie, soit les capacités de la conscience collective après la mort. Sachant que ces capacités sont infiniment plus puissante que celles de notre petit cerveau, et que d’autre part la conscience collective dispose d’une somme d’informations sans pareil sur terre, il devient compréhensible d’affirmer, comme le font les Ummites, que c’est une pure joie de s’intégrer à la conscience collective. Sauf dans le cas où l’âme a librement choisi des comportements erronés, qui ne sont pas en adéquation avec les lois morales cosmiques. Une telle âme, qui a fauté, ne peut pas être intégrée telle quelle directement dans la conscience collective car son information engrammée est viciée et perturberait le magnifique esprit collectif. Il se passe donc pour cette âme un processus de reconformation, et c’est ce processus qui, d’un point de vue subjectif pour l’âme en question, peut lui apparaître lent, douloureux, horrible : c’est en fait l’équivalent de l’enfer et du purgatoire. La mort, pour une âme juste, est vécue comme une libération pour un Ummite. C’est quand nous vivons que nous sommes morts, disent-ils. À la mort, nous sommes libérés de notre esclavage, esclavage qui est inscrit dans la traduction du mot ummite désignant l’âme : BUAWA ou « contribution informative obligatoire ». En fin de vie, lorsque l’âge a dégradé les fonctions phonatoires et télépathiques des Ummites, et donc ne leur permet plus de communiquer décemment et participer activement à l’activité sociale, cela arrive entre 90 et 140 ans, les couples ummites décident d’aller rejoindre l’esprit collectif et se suicident dans la joie… c’est une forme d’euthanasie cérémonielle.

- La conscience collective permettrait aux décédés de nous adresser des messages subconscients.

- La conscience collective permet un phénomène courant chez les Ummites, rare et sporadique chez nous : la télépathie.

La télépathie

Les Ummites sont télépathes. Et, d’après eux, nous avons tout « l’équipement » pour l’être également. Si nous ne l’utilisons pas, c’est parce que les réflexes synaptiques ne se sont pas développés, faute de nous être préoccupés d’utiliser cette faculté.

En préambule, précisons qu’il n’existe pas de connexion directe, pour un être conscient, entre son âme et la conscience collective. En fait il existe deux canaux de transmission distincts, du cerveau vers l’âme ainsi que du cerveau vers la conscience collective. Et il est nécessaire d’assimiler cela pour expliquer l’enchaînement des flux qui sont mis en jeu lors du processus particulier qui est la télépathie.

Prenons un exemple : un interlocuteur A adresse ses pensées verbalisées à un interlocuteur B. Après une mise en condition rapide, une autosuggestion qui a pour fonction d’atténuer les stimulations de l’extérieur, l’âme de A adresse un message au cerveau A. Le cerveau A relaie ce message à la conscience collective. À l’intérieur de celle-ci s’établit la connexion avec B. La conscience collective adresse le message au cerveau B. Le cerveau B relaie le message vers l’âme de B. Ces flux traversent instantanément des frontières entre plusieurs univers, l’univers des âmes, notre univers, et l’univers des consciences collectives.

En 1962 en Australie, les Ummites affirment avoir mené des expériences de transmission télépathique entre des Ummites et des Terriens. Cette expérience toute simple, si elle fonctionnait, démontrerait en fait qu’il existe une connexion entre la conscience collective d’Ummo et la conscience collective de la Terre. Cela n’a pas marché, certainement à cause de l’échec de la télépathie entre humains, et nous pouvons nous demander si, depuis la divulgation de cet échec, des progrès n’ont pas été effectués dans ce domaine. Les Ummites disent qu’ils n’ont jamais pu vérifier d’interconnexion entre consciences collectives différentes, et leurs recherches sur Terre ont pour but, entre autres choses, de répondre à cette question.

Comment ont-ils découvert l’existence de la conscience collective ?

Encore une fois, il s’agit d’une découverte scientifique liée à des atomes de krypton logés dans le cerveau possédant un comportement non quantique. Les Ummites s’aperçurent que des atomes particuliers - d’autres atomes que ceux du péresprit qui assure l’interface avec l’âme - recevaient le même message, quel que soit l’individu, et au même moment, quelle que soit la distance entre les individus.

Description physique de l’univers des consciences collectives

Si on pouvait jeter un œil à l’intérieur de l’univers des consciences collectives, on verrait des filaments et des nodules, un peu comme des neurones et des synapses, formés d’une matière ayant la densité d’une étoile à neutrons. Ici, la matière n’est pas constituée d’atomes mais de particules fortement comprimées sans électrons, donc sans charges électriques. Ces filaments oscillent en ondes stationnaires, synonyme d’informations. Cet univers est constitué pour moitié de matière et pour autre moitié d’antimatière. La vitesse de la lumière y est infinie, ou proche de l’infini. Sa densité d’information moyenne est celle d’une feuille d’un livre. Sa masse est infinie. Il existe en son sein des millions de millions de consciences collectives.

De surcroît, cet univers possède la faculté de façonner tous les autres univers. Par exemple, la formation des singularités dans notre univers (galaxies, étoiles, planètes) provient des perturbations que provoque l’univers adjacent au nôtre, lui-même perturbé par son voisin, et ainsi de suite en remontant jusqu’à l’univers de consciences collectives qui est la cause première de toute singularité, donc de toute manifestation, dans l’ensemble des univers créés. L’univers des consciences collectives agit sur les autres univers par le biais de ce que les Ummites nomment la « masse imaginaire ».

La masse imaginaire n’est pas imaginaire au sens premier, elle est bien réelle, elle est imaginaire au sens mathématique. C’est un état de la matière qui est autre, symétrique de la nôtre d’une certaine manière puisque sa vitesse est infinie à énergie nulle, et sa vitesse plancher, la plus basse, est égale à la vitesse de la lumière au sein de chaque univers. Cela, entre parenthèses, évoque les tachyons décrits par Einstein, ces particules permises par les équations qui seraient dotées d’une vitesse infinie, et à qui on devrait fournir une énergie infinie pour les ralentir jusqu’à la frontière de la vitesse de la lumière.

La fonction d’évolution du vivant

Les Ummites nous disent que le darwinisme, qui orienterait les espèces vers un perfectionnement progressif à base de mutations aléatoires et de la sélection naturelle, n’est pas une explication suffisante. Si cette théorie était valide, nous devrions constater des involutions, des modifications du génome qui engendreraient des régressions, des mutations mortelles ou handicapantes. Et dans le cas de la couleur des insectes qui adoptent exactement la couleur de la feuille, par exemple, nous devrions assister à des mutations régies uniquement par le hasard et qui donneraient lieu à des insectes oranges, rouges, jaunes, bleu, etc. Bien sûr, seuls les plus camouflés survivraient par le biais de la sélection naturelle, mais les anormaux devraient naître également, en quantité, et nous devrions observer leur apparition, ce qui n’est pas le cas. Invoquer le hasard, c’est comme si tirer au hasard sur les colonnes du Parthénon en Grèce, au lieu d’enlaidir les péristyles, enrichissait les colonnes d’élégantes caryatides. Cela ne tient pas debout !

Le « BAYODU »

Quelle est leur explication des lois de l’évolution ? D’après eux, il existe sur chaque télomère chromosomique une chaîne d’atomes spéciaux, le BAYODU, dont la fonction est de relier le génome d’un être vivant à la conscience collective par le biais de 172 atomes de krypton aquantique, 86 paires en fait (le krypton serait associé à l’ADN par un mécanisme inconnu aujourd’hui).

Ce « BAYODU » contient plusieurs sous-systèmes

- D’abord sont codées, à l’aide de 86 atomes, et ce pour chaque chromosome, toutes les possibilités existantes d’êtres organiques qui peuvent se réaliser dans la nature, tous les plans de construction dans la totalité de notre univers. Ces atomes sont comme des pendules qui fonctionnent à l’unisson. Les Ummites ont vérifié que le synchronisme entre toutes les espèces vivantes, et même entre la Terre et la planète Ummo, est absolument parfait.

- Les 86 atomes restant, par chromosome, ont une fonction dynamique : ils captent en premier lieu l’information issue du cytoplasme, qui les renseigne sur le milieu, et en second lieu, ils altèrent les chromosomes, en tant que de besoin et en suivant les codifications préétablies et permises du génome fournies par leurs compagnons kryptoniques appariés.

C’est ainsi que l’évolution se produit toujours dans un sens positif : l’orthogenèse.

Alors comment le cytoplasme peut-il receler de l’information sur le milieu ? Là, malheureusement, les textes sont incomplets, il manque manifestement des lettres, mais ce qu’on y apprend va sans doute vous rappeler une théorie, et faire revivre la mémoire de quelqu’un décédé très récemment.

La mémoire de l’eau

Premièrement, ce sont les atomes d’oxygène de l’eau cellulaire qui subissent une excitation de leurs couches orbitales électroniques en fonction de ce que l’organisme vivant capte du milieu électromagnétique ambiant : la couleur des algues et des rochers par exemple pour un crabe. L’atome de krypton dynamiseur est en mesure de capter cette information provenant du milieu extérieur via l’atome d’oxygène.

Deuxièmement, les atomes d’hydrogène de l’eau contenus dans le cytoplasme de la cellule captent une gamme de radiations électromagnétiques , notamment sur la fréquence de l’hydrogène. La mémorisation des variations radiatives serait accusée par intervalles de temps de l’ordre d’un millier d’années. Les atomes d’hydrogène de l’eau cellulaire, à la fois récepteurs et mémoire, contiendraient donc des informations depuis l’apparition de la vie sur la planète.

Une interrelation

Le rapport est incomplet, on ne sait rien du mécanisme mettant en relation l’atome de krypton contenant la codification des mutations possibles, et l’atome de krypton dynamiseur, informé du milieu. On peut imaginer qu’il se produit quelque chose comme une interrelation entre les deux atomes qui déclencherait de la part de l’atome dynamiseur un choix de mutation et le lancement de l’ordre de mutation adressée au chromosome porteur du code génétique. On ne sait rien non plus du rôle joué par la mémorisation des variations de rayonnement dans le spectre de l’hydrogène interstellaire.

Mais cette capacité de mémorisation de l’eau nous évoque forcément les travaux de Jacques Benveniste, directeur de recherche à l’Inserm, et dont la théorie avait fait les gros titres il y a une dizaine d’années, le chercheur s’étant fait laminer par la communauté scientifique bien pensante alors que ses résultats ont été par la suite reproduits par des laboratoires indépendants. Le rôle du krypton cellulaire paraît donc essentiel au développement des formes vivantes pour leur mise en relation avec la conscience collective. Si son rôle était mis en évidence par la communauté scientifique, il est certain que le dossier Ummo prendrait une tout autre dimension. Pour réaliser un premier pas en avant dans cette direction, Jean Pollion a pris la décision courageuse de réaliser une expérience. Mise au point par lui et un physicien canadien, elle consiste à asphyxier en krypton un milieu cellulaire et observer ce qui se passe. Si les cellules meurent ou dégénèrent c’est qu’effectivement le krypton joue un rôle essentiel dans la croissance des cellules vivantes, ce dont personne ne s’était douté aujourd’hui. Cette expérience est en cours.

Dieu

On sait très peu de chose sur Dieu (WOA) à travers les lettres, parce qu’ils nous disent que WOA est véritablement transcendant.

Extrait d’une lettre Ummite :

Notre agnosticisme nous pousse à nous abstenir de définir et de sonder quelque chose d’aussi transcendant que WOA.

Nos penseurs n’essaient pas de spéculer autour de l’essence de ce qui n’est pas accessible, par exemple WOA.

Les Ummites sont agnostiques : doctrine selon laquelle tout ce qui est au-delà du donné expérimental est inconnaissable, autrement dit tout ce qui est métaphysique par définition.

Que nous disent-ils encore de WOA ? Il est adimensionnel. Il coexiste avec la réalité ultime. On ne peut pas dire WOA fut, ou WOA sera, mais WOA est. Il est le seul être pensant qui ne déforme pas la réalité ultime en pensant à elle. Nous, habitants de l’univers, nous sommes cocréateurs de l’univers, notre pensée participe à l’élaboration de l’univers. La pensée de Dieu ne modifie pas l’univers en train de se créer, en quelque sorte Dieu le laisse libre.

Il n’y a d’ailleurs pas de rituel dédié à Dieu, ni de culte. La seule traduction d’un amour et d’une vénération de Dieu existe sous la forme de l’amour fraternel, et dans la sévérité du compromis social. Ne connaissant pas Dieu, ils s’abstiennent de lui rendre grâce et transposent cette énergie dans le suivi au plus près des lois morales déclinées en lois sociales.

Ils nous reprochent à ce sujet notre anthropocentrisme. Nous avons trop tendance, disent-ils, à nous figurer Dieu comme un homme, barbu, et surtout nous lui prêtons trop de comportements et de raisonnements humains.

Pourquoi Dieu tolère-t-il le mal ? C’est un leitmotiv qui revient dans toutes nos interrogations, qu’elles soient chrétiennes ou musulmanes. Or WOA est par essence inaccessible à l’entendement. Il est transcendance pure.

Notre questionnement sur Dieu. (qui est en fait un questionnement sur l’homme, on devrait dire : « Pourquoi l’homme tolère-t-il le mal ? ») est sans objet. C’est comme si une race étrangère à l’homme se posait la question : Pourquoi l’homme pleut-il ? du verbe pleuvoir. Cela n’a pas de sens, ce serait attribuer à l’homme des qualités et des fonctions qu’il n’a pas, qu’il n’a jamais eues, qu’il n’aura jamais.

La signification du bien et du mal

La réponse Ummite est que le mal existe, mais pas sous la forme anthropomorphique qui nous est familière. Le mal absolu est l’anéantissement. Le bien est la conformation totale aux lois morales cosmiques.

Le mal est l’entropie, le bien est la néguentropie.

L’entropie est une perte d’information. C’est le désordre qui prend de l’ampleur jusqu’à un vide total de toute substance.

Le contraire de l’entropie, la néguentropie, peut être défini comme un gain d’information. Tout le vivant fait partie d’un processus néguentropique, c’est ce qui distingue l’animé de l’inanimé.

L’univers multiple qui se construit répond à un processus néguentropique. Toute conduite entropique freine son évolution, remet en cause sa trajectoire nominale vers oméga.

Remarquez que l’homme étant libre, la conscience collective étant libre de son parcours évolutif, l’univers multiple étant finalement un grand être doué de liberté, l’anéantissement est toujours possible : l’anéantissement d’une planète, d’une galaxie, d’un univers…

Les Ummites attirent notre attention sur l’interdépendance du vivant qui a des conséquences incalculables du point de vue moral. Un homme qui fait une bêtise sur Terre, qui désobéit aux lois d’amour cosmiques, non seulement nuit à son entourage, mais perturbe l’ensemble du réseau social terrestre, ainsi que tous les réseaux sociaux extraterrestres en freinant la bonne marche de l’univers multiple vers son épanouissement. C’est pourquoi les Ummites sont très durs vis-à-vis d’eux-mêmes, et très sévères vis-à-vis de nous : car nous sommes reliés, nous sommes les nœuds d’un réseau cosmique, et tout ce que fait un individu rejaillit sur tous…

La vie après la mort

C’est quand nous sommes vivants, que nous sommes morts. Nous participerons aux joies de l’existence et de la connaissance de façon incroyablement plus forte quand nous serons morts, en profitant des capacités de traitement de l’information de la conscience collective, en lieu et place de notre cerveau, et en profitant de l’information en provenance des centaines de milliards d’expériences humaines préalablement vécues.

La fonction transcendante de l’homme dans le cosmos

Au sein de l’univers multiple, l’univers des consciences collectives fait figure de patron. C’est le cerveau du pluriunivers, et c’est aussi ses mains qui façonnent la totalité des univers, par le biais de la masse imaginaire qui influence la structure physique des univers en développement.

Le pluriunivers est un grand être issu de la pensée de Dieu, un grand être libre qui se réalise, qui évolue vers un point de fusion de conscience que nous ne pouvons même pas envisager, et qui se réalise grâce à une boucle de rétroaction de type cybernétique. Dit simplement, le grand univers autocapte de l’information sur ce qui se passe en son sein, et corrige et affine les actions qu’il entreprend en fonction des résultats obtenus, et en fonction de son intention, son plan de construction. C’est un feedback essentiel à son évolution, exactement de la même façon que nos yeux regardent ce que nos mains font quand elles donnent naissance à une poterie en argile. Si une déviation est constatée par rapport à l’intention, un processus de correction est entamé. Le physicien et épistémologue Ervin Lazlo, dans sa théorie de la dynamique sub- quantique, a mis en évidence que l’univers a besoin d’un feedback pour évoluer dans la bonne direction ; ce qui implique obligatoirement l’existence d’une physique informative et donc d’une vitesse quasiment infinie pour véhiculer certaines informations. Les Ummites disent exactement la même chose.

Le grand univers capte ce qui se déroule à l’intérieur de lui par de multiples capteurs, qui sont les yeux, les oreilles, tous les sens, et tous les cerveaux des hommes et des hominiens qui le peuplent. C’est notre rôle de capter pour le service de l’univers. Le rôle que notre âme doit jouer, au mieux de ses capacités, est une contribution informative pour l’univers des consciences collectives, cette contribution est obligatoire à la réalisation du Grand Œuvre. Quand nous visualisons du jasmin, nous le touchons, nous le sentons, pour notre plaisir croit-on, mais le plaisir est un miroir aux alouettes ; c’est pour le service de l’univers global que nous percevons, le plaisir étant incitatif.

Notre rôle n’est pas seulement passif, il ne consiste pas seulement à regarder et à transmettre ce que nous voyons au grand cerveau collectif : nous sommes co-créateurs de l’univers, nous participons, par nos pensées et par nos volontés, à la définition de l’objectif en quelque sorte. L’univers sera ce que nous en ferons.

Les travaux terrestres en physique issus de la conception Ummite

Outre les travaux célèbres du physicien et astrophysicien Jean-Pierre Petit - qui a réussi notamment à introduire le second univers couplé dans l’équation de champ d’Einstein, l’équation fondamentale de la cosmologie, d’après les indications portées sur les lettres ummites - d’autres physiciens de par le monde tentent de transformer ces indices en science de qualité.  C’est le cas du canadien Benedictus Servant, par exemple, qui a réussi à reformuler la théorie des IBOZOO UU, qu’il a nommés nœuds d’axes orientés, et à retrouver les résultats de la relativité restreinte : vitesse de la lumière déduite de l’inversion des axes d’espace et de temps, dilatation du temps, contraction des longueurs.

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